arts-martiaux
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

arts-martiaux

Forum où nous partagons la passion des arts martiaux
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 AIKIDO (1ère partie)

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
ELODIE
Admin
ELODIE


Nombre de messages : 738
Age : 37
Localisation : alsace
Date d'inscription : 04/03/2006

AIKIDO (1ère partie) Empty
MessageSujet: AIKIDO (1ère partie)   AIKIDO (1ère partie) EmptyVen 21 Avr - 18:22

PRESENTATION



L’aïkido est un art martial japonais développé par Morihei Ueshiba. « aïkido » signifie à peu près « voie de l’union des énergies », en d’autres termes, c’est la voie de l’harmonie.
D’un point de vue technique, on peut dire que l’aïkido suit la lignée des formes de jujutsu classique, mais semble esthétiquement différent. En effet, les mouvements utilisés sont amples, souples et tournants. Les techniques d’aïkido ont pour but principal d’immobiliser un (des) adversaire(s), ou de le(s) projeter loin de soi.

Les pratiquants d’aïkido peuvent avoir plusieurs motivations différentes. On peut être attiré par ses aspects de self-défense, d’entretien du corps, ou de spiritualité.
L’aïkido prône en effet « l’amour et l’harmonie par l’union avec l’univers », d’après les paroles de Kisshomaru Ueshiba, le fils du Fondateur.
Cela peut paraître paradoxal, mais l’aïkido a pour but de faire disparaître la violence pour rétablir un monde meilleur.

Il n’y a pas de compétition en aïkido. En effet, beaucoup de techniques peuvent se révéler mortelles si elles sont mal exécutées, et de toutes façons le Fondateur a toujours refusé cette idée, car il pensait que la compétition favorisait l’ego et allait contre la philosophie même de cet art.


LES STYLES

L’aïkido que nous a transmis O Sensei ne nous est pas parvenu tel qu’il était pendant la vie du Fondateur. En effet, certains de ses élèves se sont engagés dans des voies légèrement différentes ou insistant davantage sur certains points de la pratique. C’est pourquoi on peut aujourd’hui parler de différents styles en aïkido. En voici les exemples les plus répandus...







L’Aïkibudo



C’est le nom donné à la forme qu’enseignait le Fondateur au début du développement de son art. Il est techniquement très proche des techniques traditionnelles de Jujutsu, en particulier du Daito ryu Aïki Jujutsu de Maître Sokaku Takeda. Ce style est considéré comme l’une des formes les plus dures d’Aïkido. Les représentants de ce style sont pour la plupart des anciens élèves du Fondateur avant la guerre.







Le Yoseikan



Ce style a été développé par Minoru Mochizuki, qui a été l’un des premiers élèves de Maître Ueshiba, ainsi que de Maître Kano, fondateur du Judo. C’est en fait une synthèse de plusieurs arts martiaux japonais, comme le Judo, le Karaté, le Jujutsu, en plus de l’aïkido. Les différences principales avec l’aïkido sont l’ajout de techniques de pieds (ashi), de sacrifices (sutemi), de techniques au sol (ne wasa) et de katas dans la méthode d’enseignement. Les déplacements sont également différents.







Le Yoshinkan



C’est le style créé en 1954 par Gozo Shioda, qui a étudié avec Ueshiba pendant les années 30. Après la guerre, il commença à donner des cours et fonda l’organisation Yoshinkan. Yo signifie « développer », Shin veut dire « esprit » et Kan désigne le lieu de pratique. Il est à noter que contrairement à la plupart des styles différents de celui de l’Aïkikai, le Yoshinkan est resté en très bons termes avec ce dernier. Le Yoshinkan est un style réputé assez dur, avec des techniques plutôt robustes et puissantes. Il met l’accent sur l’efficacité en situation de combat réel. Ce style a par ailleurs été adopté par la police japonaise.







L’Aïkikai



C’est le style le plus répandu. Il correspond en fait à un « développement » du style du Fondateur par son fils Kisshomaru Ueshiba. Celui-ci, motivé par sa mission de promoteur de l’aïkido à travers le Monde, a modifié et simplifié le style enseigné par son père afin de le rendre plus accessible à la masse. Il a été adopté aujourd’hui par la Fédération Internationale de l’Aïkido. En fait, ce « style » en cache d’autres, complètement différents.







L’Iwama Ryu



C’est le style représenté par Maître Morihiro Saito. Il est basé à Iwama, et fait partie de l’Aïkikai, même s’il est très différent du style enseigné à l’Aïkikai. Maître Saito a été l’élève qui a étudié le plus longtemps auprès du Fondateur. Aujourd’hui, il fait de son mieux pour préserver la technique originelle du Maître Ueshiba. Le répertoire technique est donc plus large (surtout au niveau des armes) que dans la plupart des autres styles. En effet, la pratique des armes n’a été que très sommairement transmise par le Fondateur à l’Aïkikai. Or, Maître Saito pense que le travail des armes est un facteur essentiel à la compréhension profonde des techniques à mains nues. Notons que ce style n’est pas très bien accepté par l’Aïkikai, car il semble être le plus proche de l’enseignement du Fondateur, et donc le plus véridique.







Le Shin-shin Toitsu Aïkido

C’est le style qu’a fondé Maître Koichi Tohei, qui s’est détaché de l’Aïkikai en 1974. Shin-shin Toitsu signifie « unification du corps et de l’esprit ». Maître Tohei pense qu’il est important de comprendre le concept et l’utilisation du Ki dans la vie quotidienne. Il donne donc une importance toute particulière à l’aspect du contrôle de l’énergie dans son école, qui comprend de nombreux exercices visant au développement du Ki. C’est l’un des styles les plus doux de l’aïkido, dans lequel on peut même trouver des petits bonds exécutés par le pratiquant. Il faut préciser que cette école attache une faible importance aux applications martiales, car elle considère les techniques uniquement comme un moyen de développer le Ki. On peut dire aujourd’hui que ce style s’éloigne de plus en plus de l’aïkido traditionnel, de par ses motivations de plus en plus axées sur le Ki et la santé. Cette école, la « Ki Society », est particulièrement implantée aux USA.







Le Tomiki Ryu

Ce style est celui de Maître Kenji Tomiki, qui a été élève à la fois de Maître Ueshiba et de Maître Kano.
Tomiki voulait « rationaliser » l’enseignement de l’aïkido, tout comme le faisait Maître Kano pour instaurer le Judo dans l’enseignement scolaire. Il a notamment voulu introduire l’idée de compétition, afin de ne pas dénaturer les techniques d’aïkido et les tester dans des situations de combat. O Sensei a d’ailleurs toujours repoussé cette proposition, car selon lui la compétition n’avait pas sa place en aïkido.
L’école Tomiki se caractérise également par ses kata (formes techniques pré-arrangées), en plus de sa compétition à mains nues ou avec un couteau.

LES PRINCIPES

Ki et Kokyu



Le Ki est un des concepts fondamentaux de la pensée orientale (Qi en chinois, Prana en indien). Il a largement influencé la philosophie raffinée que les Asiatiques ont hérité de leur passé.
Les anciens pensaient que le Ki n’était autre que la vie et qu’il représente l’énergie vitale et la force mentale. Aujourd’hui encore, le langage commun a conservé de nombreuses expressions qui témoignent de cet héritage.
Lorsqu’il est possible de faire librement usage de tout le Ki qui est en soi, la puissance développée est incroyable. La vie peut alors être vécue intensément sans craindre pour sa vitalité.
Le ki peut être ressenti de plusieurs façons différentes : certains maîtres le ressentent comme « un flux harmonieux d’énergie émanant de leur corps et de leur esprit » ou « une étrange force vitale dont ils ignorent la source, ou « la sensation d’une adéquation parfaite entre la respiration et le mouvement ».

En réalité, le Ki est une forme d’énergie vitale qui se concentre dans le Hara, quicorrespond au centre de gravité du corps. Lorsqu’on atteint un certain niveau de pratique, on peut utiliser le Ki au lieu de se servir de la contraction musculaire, qui d’ailleurs empêche la circulation du Ki dans le corps. De cette manière, tous les mouvements exécutés sembleront aisés et harmonieux, ils ne nécessiteront aucun effort fatigant.
On retrouve d’ailleurs cette utilisation du ki dans les arts martiaux chinois, tels que le Taijiquan, le Xing Yi quan, etc…

L’utilisation du Ki est évidente dans les techniques de Kokyu nage :











Maai et Deai



Maai signifie espace ou distance. Cette notion représente la distance tant au niveau spatial que temporel qui sépare deux forces (attaquant, attaqué).
Ce concept, en aïkido comme dans tous les arts martiaux, doit s’appliquer tant physiquement que mentalement.
Sur le plan physique, une bonne gestion de maai consiste à être hors d’atteinte en permanence, tout en pouvant soi-même atteindre l’adversaire, c’est le résultat d’un bon placement (ci-contre).
L’utilisation du maai se fait aussi sur le plan mental.

Quand deux maîtres de sabre s’affrontent, ils ne commencent pas par attaquer dans l’espoir d’obtenir un avantage car ils n’offrent à l’adversaire aucune ouverture matérielle. Ils attendent. Leurs corps se tiennent à distance pendant que leurs esprits s’engagent dans une sorte de lutte. Chacun doit rester complètement calme et ouvert. Dans ces cas-là, les vibrations émanant de l’adversaire ne peuvent mentir, c’est l’être véritable qui et mis à nu. Un maître comprend ceci et il attend la plus petite ouverture, la moindre faille dans la concentration de l’adversaire, qui se manifestera par une infime modification de sa posture. C’est à ce moment que l’on peut contrôler l’adversaire : avant le contact entre les deux opposants, le vainqueur est déjà déterminé. La découverte du monde du maai aiguise la perception, l’intuition et la lucidité.



Deai est une notion correspondant au timing. Elle est utilisée pour contrôler l’espace et susciter une réaction. Le contrôle du Deai est essentiel en aïkido : c’est seulement grâce à cette maîtrise du temps et des relations spatiales qu’un mouvement peut être correctement exécuté.
Cette étude de l’instant exige un mélange paradoxal de concentration intense et d’entière disponibilité. Fixer sa concentration sur un point donné, comme la main, le sabre, les pieds, rétrécit le champ de vision physique et mental. On perd la notion de timing si la réaction est amorcée que lorsque l’information de l’attaque atteint la conscience physique. On la perd aussi quand la réaction se produit lorsque le sabre ou le corps de l’adversaire ont déjà bougé.
Cependant, si vous amorcez votre mouvement trop tôt, avant que l’attaque de l’adversaire n’ait pris forme, il aura l’avantage. Vous avez précipité le processus et même si votre exécution est techniquement parfaite, vous avez vendu la mèche. L’ennemi pourra rectifier sa position, vous suivre et vous pourfendre.
Le temps de réaction sera adéquat si, au moment de l’attaque, vous pouvez prendre l’adversaire en défaut. C’est au moment de son attaque que l’adversaire est le plus vulnérable : l’attaque absorbe toute son énergie et sa concentration, et à ce stade son mouvement est irréversible.
Revenir en haut Aller en bas
https://arts-martiaux.forumpro.fr
ELODIE
Admin
ELODIE


Nombre de messages : 738
Age : 37
Localisation : alsace
Date d'inscription : 04/03/2006

AIKIDO (1ère partie) Empty
MessageSujet: aikido (2ème partie)   AIKIDO (1ère partie) EmptyVen 21 Avr - 18:30

TECHNIQUE DE BASES

Les techniques de base sont les véhicules utilisés pour exprimer les principes plus larges de l’aïkido. Il n’existe pas de formes strictement établies puisque « changement et adaptabilité sont l’essence même de l’aïkido ».


Le Fondateur ne parlait que rarement des aspects techniques de la pratique de l’aïkido, car il pensait que « si votre cœur est juste, vos techniques seront correctes ». Parallèlement aux enseignements contenus dans les dokas, le Fondateur mettait l’accent sur différents points fondamentaux dans l’exécution des techniques d’aïkido :


▪ Bien que notre Voie soit totalement différente des arts guerriers du passé, il n’est pas nécessaire d’abandonner complètement les anciennes façons de faire. Intégrez les traditions séculaires dans l’aïkido en les revêtant d’habits neufs, et reposez-vous sur les styles classiques pour créer de nouvelles formes plus efficaces.


▪ Nos techniques font appel à quatre qualités qui reflètent la nature de notre monde. Selon les circonstances, vous devriez être aussi dur que le diamant, aussi flexible que le jonc, aussi fluide que l’eau, aussi vide que l’espace.


▪ Le corps devrait être triangulaire, l’esprit circulaire. Le triangle représente la production d’énergie et la position physique la plus stable. Le cercle symbolise la sérénité et la perfection, source de techniques illimitées. Le carré est synonyme de solidité, base permettant d’appliquer le contrôle.


▪ Un bon placement et une bonne posture reflètent un état d’esprit correct. La clé d’une technique correcte est de garder mains, pieds et hanches en ligne et centrés. Si vous êtes centré, vous pouvez bouger librement. Le centre physique est le ventre ; si votre esprit est placé au même endroit, vous êtes assuré de la victoire en toute circonstance.


▪ Ne fixez pas les yeux de votre adversaire : il pourrait vous hypnotiser. Ne fixez pas votre regard sur son sabre : il pourrait vous intimider. Ne fixez pas du tout votre adversaire : il pourrait absorber toute votre énergie. L’essence de la technique est d’amener votre adversaire entièrement dans votre sphère. Alors vous pourrez vous tenir où bon vous semble, en toute sécurité, hors d’atteinte. Lorsqu’un adversaire s’avance, entrez et saluez-le, s’il veut se retirer, laissez-le passer.

Une grande majorité des arts martiaux japonais a toujours connu la pratique des armes, en tant que partie intégrante du système martial. Les armes utilisées sont très diversifiées, et représentent l’héritage de l’histoire passée du Japon. L’aïkido s’est spécialisé dans la pratique de deux armes principales traditionnelles : le ken (sabre) et le jô (bâton). Cependant, on peut retrouver en aïkido d’autres armes s’adaptant parfaitement à sa pratique.





Le sabre

Le sabre japonais est intimement lié à l’histoire du Japon féodal, car il est le symbole même du samouraï. Il a subi de nombreuses transformations au cours de son évolution, pour donner un instrument remarquable par ses qualités.
En effet, le caractère exceptionnel du sabre japonais, par rapport aux autres sabres traditionnels que l’on peut trouver aux quatre coins du monde, réside dans le fait que les fabricants japonais ont su concilier trois notions opposées mais importantes pour faire un bon sabre, c’est-à-dire la rigidité, la robustesse, et la finesse de la coupe. La robustesse implique l’utilisation d’un métal léger mais solide, comme le fer, tandis que la rigidité et la capacité de coupe sont maximales avec l’emploi d’acier bien dur. Les forgerons japonais ont su harmoniser ces caractères pour donner un type de sabre remarquable.
La fabrication traditionnelle d’un sabre japonais revêt une dimension religieuse très forte, car elle est ponctuée par de nombreux rites shintoïstes de purification que pratique le fabricant. En effet, le sabre, au Japon, possède un statut presque spirituel; il est sensé avoir une âme, qui lui a été insufflée par l’artisan, d’où l’importance de ces rites.
Ainsi, on dit que les sabres ne se comportent pas tous de la même manière. Celui qui les manie peut leur trouver un « caractère » bien spécial, déterminé en fonction non seulement du degré d’habileté du forgeron, mais aussi de son niveau spirituel. Il existe plusieurs types de sabres, variant par leur forme et leur longueur :












Le Tachi
Le Katana
Le Wakizacki








Les différentes parties qui composent un sabre traditionnel






Pour les entraînements en club, on utilise généralement un bokken - un sabre de bois - de mêmes caractéristiques qu’un véritable sabre (outre son tranchant, bien sûr). Notons que cela ne signifie pas qu’il soit inoffensif, puisqu’il pouvait à l’occasion être utilisé en combat réel. Le Fondateur s’est énormément intéressé à la pratique du sabre dans l’aïkido. C’est surtout après la 2e Guerre Mondiale qu’il a développé cette pratique, alors qu’il s’était retiré à Iwama.
La connaissance du sabre est en effet très importante, car elle peut directement influencer la pratique à mains nues. Beaucoup de mouvements à mains nues sont issus de l’art du sabre, et une compréhension profonde de techniques, comme par exemple shihonage, ne peut se faire sans la perception d’une étroite liaison avec le mouvement d’un sabre que l’on tiendrait en même temps que l’on exécute le mouvement. Dans la pratique de l’aïkido comme dans d’autres arts martiaux, toute arme ne constitue qu’une prolongation des membres naturels du corps. Il en est de même pour le sabre, qui, bien intégré dans la pratique, revêt une dimension spirituelle importante.

Selon Maître Ueshiba, « le sabre est par essence l’âme du guerrier, une manifestation de la véritable nature de l’univers. Ainsi quand vous dégainez le sabre, c’est votre âme que vous tenez dans vos mains. Sachez-le, deux guerriers qui se font face en brandissant leur sabre sont comme des flambeaux, ils entrent ensemble, corps et esprit mêlés, dans un monde qu’il faut débarrasser du mensonge et du mal. Celui qui vient pour s’opposer à lui sur le Grand Chemin de la maîtrise du sabre permet au guerrier que la divinité inspire, de faire agir les Principes Universels. Il favorise l’harmonisation de tous les éléments du ciel et de la terre, du corps et de l’esprit, éternelles splendeurs. »

C’est également un excellent moyen pour se sensibiliser à la notion de maai et de deai, c’est-à-dire la gestion de l’espace-temps qui sépare les deux adversaires.





Le Jô

Le jô est un bâton en bois d’une longueur de 1,27m.



Les armes de traditionnelles comportent aussi :



▪ Le Bô (bâton de bambou d'environ 2m)

▪ L'Éventail (l'éventail traditionnel peut également servir à se défendre)
▪ Le Naginata (hallebarde à lame courbe)
▪ Le No-Dachi (très grand sabre, porté principalement à cheval)
▪ Le Nunchaku (fléau à deux branches utilisé originellement pour battre le blé)
▪ Les Saïs (petites fourches utilisées à des fins diverses)
▪ Le Tambo (matraque)
▪ Le Tanto (couteau à lame courbe)
▪ Le Tonfa (manche de meule)
▪ Le Yari (lance droite)
▪ Etc...
Revenir en haut Aller en bas
https://arts-martiaux.forumpro.fr
ParKy[BZHProd]
membre fidele
membre fidele



Nombre de messages : 366
Age : 41
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 07/03/2006

AIKIDO (1ère partie) Empty
MessageSujet: Re: AIKIDO (1ère partie)   AIKIDO (1ère partie) EmptyVen 21 Avr - 23:13

Elodie, jte l'ai déjà dit Embarassed Embarassed mais çà manque d'images tes sujets...c'est dommage, moi j'aime bien les images..lol
cartonne
Revenir en haut Aller en bas
http://bzhprod.lhda.free.fr
ELODIE
Admin
ELODIE


Nombre de messages : 738
Age : 37
Localisation : alsace
Date d'inscription : 04/03/2006

AIKIDO (1ère partie) Empty
MessageSujet: Re: AIKIDO (1ère partie)   AIKIDO (1ère partie) EmptyVen 21 Avr - 23:54

daccord , suffit de demander !!
je montre quelques images des armes :

LE KATANA:
AIKIDO (1ère partie) Katana1dj

LE SABRE TRADITIONELLE
AIKIDO (1ère partie) Sabretraditionnel1zr.th

LE TACHI:
AIKIDO (1ère partie) Tachi7cn
Revenir en haut Aller en bas
https://arts-martiaux.forumpro.fr
Contenu sponsorisé





AIKIDO (1ère partie) Empty
MessageSujet: Re: AIKIDO (1ère partie)   AIKIDO (1ère partie) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
AIKIDO (1ère partie)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
arts-martiaux :: ARTS-MARTIAUX :: Les Ecoles-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser