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 kung fu (2ème partie)

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ELODIE
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ELODIE


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kung fu (2ème partie) Empty
MessageSujet: kung fu (2ème partie)   kung fu (2ème partie) EmptyVen 21 Avr - 15:55

De nos jours, ce terme désigne également une boxe moderne, élaborée elle aussi vers 1960 sur la base de cinq styles Cha Quan, Hua Quan, Pao Quan, Hong Quan et Shaolin Quan. Ce Chang Quan moderne se distingue par des postures très basses, des techniques longues et des figures acrobatiques qui le rendent particulièrement attrayant à voir, c'est celui qui est présenté lors des compétitions internationales

Hoa Linh Bac Tru QuyenTechnique de la flamme sacrée

Hou quan 猴拳 Boxe du singe
La boxe du singe est un art martial chinois dit figuratif, car il représente les attitudes et les mouvements de l'animal concerné. Ce style consiste à porter des attaques très rapides dans les parties les moins résistantes de l'adversaire, comme les yeux, les tempes ou les parties génitales.

Le style du singe demande beaucoup d'agilité, car les blocages et parades liées au singe sont « casse-cou »: les blocages se font très près du corps, souvent avec les coudes, et les parades peuvent être des roulades, galipettes, ou autres acrobaties.

L'arme de prédilection du singe est le bâton long


Hung gar (littéralement "boxe de la famille Hung", boxe du tigre et de la grue, tibétain, ayant inspiré la grue blanche

Le hung gar est un style de kung fu chinois originaire de la province de Canton apparu fin XVIIIe, début XIXe siècle.

C'est l'un des styles de kung fu du sud de la Chine les plus pratiqués aujourd'hui de par le monde. Il est surtout connu pour ses positions basses et stables, ses attaques puissantes principalement développées avec les membres supérieurs, de nombreux blocages et aussi le travail de l'énergie interne.

Le hung gar est souvent appelé « style du tigre et de la grue » bien que le style reprenne des posture imitant les cinq animaux classiques du Shaolin : le dragon, le tigre, la grue, le léopard et le serpent. Le hung gar compte quatre tao lu (« formes imaginaires de combat ») principaux (classiques) : la boxe du tigre embusquée, la boxe du poing mixte du tigre et de la grue, la boxe des cinq animaux et des cinq éléments et la boxe (interne) du fil de fer.

Parmi les grands du hung gar, on peut citer Wong Fei Hung mort vers 1920 et Lam Sai Wing mort en 1933.

Il ne faut pas confondre le hung gar avec une autre boxe chinoise appelée hop gar, style de boxe « de la grue » et qui vient du Tibet


Jun fan (cantonais
Le Jun Fan « petit dragon » gung fu est un style de combat créé par le célèbre maître en arts martiaux Bruce Lee (Lee Jun Fan en cantonais)

Le Jun fan a vu le jour aux alentours de 1964 quand Bruce Lee, alors étudiant universitaire aux États-Unis, prit l'initiative d'enseigner à qui le voulait son art martial alors originaire de Chine. De ce fait, cet homme qui représente sans le moindre doute la figure populaire la plus marquante de l'histoire des arts martiaux, s'est alors retourné contre la tradition martiale chinoise de garder secrètes les méthodes de combat et de ne pas les enseigner à des étrangers.

Le Jun Fan gung fu serait alors un mélange de plusieurs techniques martiales considérées comme utiles par Bruce Lee. Ce style qui en fait n'en est pas un (car il s'adapte continuellement et se base sur l'efficacité) est basé sur plusieurs formes de combats occidentaux ou orientaux mais ses racines puisent dans l'enseignement du Wing Chun.

pak mei boxe sourcil blanc
pek kwarboxe mains tranchantes

C’est un des styles de Kung Fu du Nord les plus secrets.

C’est un ancien style de Shaolin qui date de la Dynastie des Ming et dont les premiers écrits datent d’environs 1500.

Ce système était exclusivement destiné aux gardes de l’Empereur et ne devait en aucun cas être dévoilé à l’extérieur. Quiconque enfreignait cette loi était exécuté ainsi que toute sa famille.

« Pek » signifie hacher, ou main qui tranche de haut en bas, et « Kwar » signifie attaque du bras ou du poing de manière ascendante.

Les gardes devaient posséder un Kung Fu implacable et sans faille, suffisamment performant pour que l’empereur qui voyageait incognito puisse n’être accompagné que de quelques hommes (deux souvent) et resté en parfaite sécurité.

Le Pek Kwar se répandit avec la fin de la monarchie. La famille Kam Tak Hoi qui, depuis des générations servait l’empereur, entraîna l’armée puis ouvrit une école.

Ce style comprend une quarantaine de formes, avec et sans armes, et exige une coordination totale du corps. Resté longtemps secret, il ne connaît pas les inconvénients de la vulgarisation et est resté très pur et originel. Il est enseigné par Chan sau chong (Hong Kong), Yew-Ching Wong (USA), tous deux élèves de Maître Kwan Duk, et Latouille Fabien (france), élève de Y.C.Wong

Tang lang quan Boxe de la mante religieuse

Le Tang Lang Quan est un style de Kung fu

Selon la tradition, le fondateur du style des Sept étoiles de la Mante Religieuse était Wong Long longtemps, un moine du temple Shaolin de Henan. Wong Long est né en Chine durant la dynastie Ming (1368/1644) dans le district de Tsi Mo dans la province de Shangtung et venait d’une famille aisée et avait étudié les arts martiaux dans sa jeunesse. Il voyagea souvent dans différentes régions de la Chine, cherchant des Maîtres célèbres pour améliorer ses techniques. Bien qu’il ait apprit des techniques de dix-sept différents styles, chaque fois qu’il revenait au monastère de Shaolin pour se battre avec les moines grâce aux nouvelles techniques apprises, il ne pouvait pas vaincre le moine supérieur.

Un jour en se promenant, Wong fut témoin d'un combat entre une mante religieuse et une cigale. Wong Long fut fasciné par l'agressivité, la vitesse et la force de la mante religieuse. Quand la cigale attaquait, la mante se jetait sur le côté, et avec la vitesse et la force de l’éclair elle immobilisait la cigale avec ses avant-bras puissants. Wong Long emmena la mante chez lui pour l’étudier de près. Il employa un roseau pour poignarder la mante et soigneusement étudia ses mouvements, examinant comment elle réagissait aux diverses situations. Wong imitait alors ces actions et lentement son système évolua. Wong Long a longtemps compilé ces mouvements dans ce qui est connu aujourd'hui comme formule verbale de 12 mots clés, les 7 longs, 8 courts, 8 modèles rigides de main, les 12 modèles flexibles de main, les huit points vulnérables et 8 d'attaque mortelle. Ceci a mené au développement du modèle du Kung Fu de la mante religieuse avec ses mouvements caractéristiques forts et rapides. Quand Wong Long longtemps a été satisfait il a ajouté au nouveau modèle les meilleures techniques des autres modèles de dix-sept qu'il avait précédemment étudiés. Plus qu'il pratiquait, plus il se rendait compte que bien que la structure du modèle ait été très rapide, dépeignant la puissance et la vitesse de la mante, le jeu de pieds était inadéquat pour livrer ces coups brefs. Wong Long plus tard a observé des singes jouer et combattant, la solution était très claire. S’il pouvait fusionner les positions intelligentes du singe avec les mouvements de main de la mante, la vitesse des mains et des pieds serait assurée.

Le style des Sept Etoiles de la Mante Religieuse prend à son nom de la constellation d'étoile de la grande ourse, la signification interne étant « les disciples de ce modèle devraient éclater partout dans le monde ».

Tang Long Hu Shi Style du tigre et de la mante religieuse

Vo-Lam : A la fin de sa vie, Bodhidharma créa sur le Mont Tung Son l’institut d’enseignement des vertus et techniques du Võ-Lâm

On peu comparer le Võ-Lâm à un grand arbre séculaire sur lesquels les différentes ligues ou fédérations, ne sont que branches, brindilles, feuilles ou bourgeons… La méthode des neuf dragons représente l’inégalable technique des nombres, la plus complète depuis l’antiquité jusqu’à nos jours : c’est le diamant qui a subit la meilleure et parfaite cristallisation. Elle est la technique préliminaire de test, utilisé par tous les maitres d’arts martiaux pour sélectionner leurs disciples.
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