biographie

FICHE D'IDENTITE

Prénom :
Jet

Nom :
Li (ou Lee) En chinois (Mandarin) : Li Lian Jie En chinois (Cantonais) : Li Nin Kit

Date de naissance :
26 Avril 1963
Lieu de naissance :
Heibei, Beijing (Pékin)

Taille :
169 cm

Poids :
Signe astrologique : taureau

Signe astrologique chinois :
lapin

Couleur préféré :
blanc

Ses aliments préférés :
pommes, légumes et le rosbif

Son aliment détesté :
les fruits de mer

La personne admirée :
Li Shizhen, un physicien chinois (1518-1593)

BIOGRAPHIE.

Jet Li commence sa carrière sportive à la fin des années 60, à l’académie de wushu de Pékin, en République populaire de Chine. Il gagne cinq médailles d’or aux championnats chinois de cette discipline, dont la première à l’âge de seulement 11 ans. Comme il arrive souvent dans les pays asiatiques, ce champion d’art martial est approché par des professionnels du cinéma et, en 1979, il tourne une première fois dans Le Temple de Shaolin, de Xinyan Zhiang, un film de kung-fu. Il s’oriente ensuite dans une carrière purement cinématographique, axée sur son expertise des arts martiaux : Les Héritiers de Shaolin, de Xinyan Zhiang (1983), Les Arts martiaux de Shaolin, de Chia Liang Liu (1986), etc. À la fin des années 80, il rencontre Tsui Hark, un important producteur de Hong-Kong, qui lui propose en 1991 le rôle principal dans Il était une fois en Chine, l’une de ses superproduction. Jet Li devient alors une immense vedette, presque aussi populaire que l’autre star asiatique Jackie Chan. Puis, il tourne les suites de Il était une fois… : La Secte du lotus blanc, de Tsui Hark (1992), Le Tournoi du lion, également de Tsui Hark (1993), et Docteur Wong en Amérique, de Samo Hung (1997). Au fil de ses apparitions au grand écran, ce champion d’art martiaux s’impose comme l’un des meilleurs spécialistes en la matière. Il finit donc par être remarqué par Hollywood, qui lui offre un rôle dans L’Arme fatale 4, de Richard Donner (1998). Deux ans plus tard, il tient le rôle principal dans Roméo doit mourir, d’Andrzej Bartkowiak. En 2001, Luc Besson le produit dans Le Baiser du dragon, réalisé à Paris (son cachet pour ce film est de 5 millions de dollars).